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Tout d'abord, nous devons comprendre ce que le syndrome néphrotique est. Il se réfère à la plus grande quantité de protéinurie (> 3.5 g/jour pour l'adulte, 50 mg pour les enfants), une hypoalbuminémie (< 30 g / L), hyperlipidémie et oedèmequi est généralisé & également connu sous le nom anasarque ou hydropisie. Commescience développée, on sait que les symptômes ci-dessus manifestent qu'unpatient a des dommages-intérêts dans la filtration glomérulaire. Pour être plusspécifiques, intrinsèques des cellules et la membrane basale qui soutiennent lemécanisme glomérulaire barrière et la barrière de l'accusation sont endommagés,afin qu'une grande quantité de protéines qui doit rester dans la circulation sanguine des fuites aux tubules nephridial et déborde le cadre de capacité ondans les tubules nephridial, ayant pour résultat une protéinurie. La quantité deprotéines synthétisés par le foie n'a peuvent compenser la perte importante deprotéines dans la circulation sanguine, ce qui déclenche une hypoalbuminémie.Dans ce cas, la pression osmotique colloïde insuffisante conduirait à undysfonctionnement de contenir de l'eau. Trop d'eau dans des espaces tissulairesformeront un oedème. Par conséquent, il est facile de conclure que les dommagescellulaires intrinsèques serait la cause du syndrome néphrotique. Uniquement par le biais de réparer les cellules endommagées intrinsèques pourraient symptômestels que la protéinurie, hypoalbuminémie et hyperlipidémie être complètementdisparus. Seulement cela représente pleinement de récupération.
Pourquoi tant de patients atteints du syndrome néphrotique ne souffrent pas latorture de récurrence ? Normalement, un syndrome néphrotique sont considéréscomme maladie rénale immunologique, parce que les réponses immunitaires versanomalies va générer beaucoup de pathogène complexe immun qui dépose dans leglomérule, causer des dommages aux cellules intrinsèques et déclencher unchangement pathologique grave comme l'inflammation. À ce stade, les cellulesintrinsèques sont fonctionnellement endommagés. Grande quantité de protéined'albumine de fuite due à un dysfonctionnement de l'infiltration. ... Par conséquent, de nombreux patients atteints du syndrome néphrotique sont traitésen utilisant des hormones immunosuppresseurs et anti-inflammatoires pour réduireun dépôt continuel de pathogène immunitaire complexe et plu l'inflammation. Ilva revivre un dommage supplémentaire du glomérule et ensuite de contrôler lamaladie.
Pour être franc, les hormones ont un effet évident sur le contrôle de la protéinurie. Protéinurie sera allégé ou négative dans un délai très court par l'administration d'hormone. La maladie semble être bien contrôlé. Alors que, cette condition fragile sera être facilement vaincue par une attaque de conduit de fumée, un pneu, causé par une simple activité de travail et ainsi de suite. Puis, protéinurie s'embrasent, suivie d'une hypoalbuminémie, œdème, etc.. Pour contrôler la maladie nécessite une fois de plus de l'administration d'hormone avec une dose plus grande. Contrôler et puis rechute, l'un après l'autre, un processus quel misérable. En fait, l'étiologie du syndrome néphrotique n'est pas si compliqué. À côté du dépôt de complexe immun pathogène et l'inflammation réponses, plusieurs facteurs provoquerait des dommages de cellules intrinsèques et autres tissus dans les reins notamment une carence en sang et en oxygène dans les tissus rénaux, microthrombus causée par hyperfuction du mécanisme de la coagulation, la synthèse des cellules mésangiales glomérulaires, déséquilibre de la dégradation, etc.. Pour recevoir une réparation complète des tissus endommagés comme intrinsèque des cellules par une élimination complète de tant de facteurs pathogènes, c'est loin d'être suffisant pour inhiber la réponse immunitaire et à lutter contre l'inflammation par les hormones. En outre, il est bien connu que les hormones ont des effets secondaires de strong. Donc, c'est une épée à double tranchant d'utiliser des hormones pour les traitements du syndrome néphrotique. Pas étonnant il sont fréquentes rechutes, prolonger la maladie peine à guérir. Les patients en recevant les médicaments chinois traditionnels ont aussi des récidives en raison de sa pathogénie compliqué et lents premiers effets des médicaments chinois. Il n'est pas les médicaments chinois qui ne peuvent pas vaincre la maladie, mais les médicaments symptomatiques ne suffisent pas pour une cure.
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